La mécanique du bâtiment, une passion pour Élodie Giguère
C’est en fouillant sur le site Web du Cégep Limoilou, à la recherche de programmes en lien avec le domaine de la construction, qu’Élodie Giguère a découvert la mécanique du bâtiment pour la première fois. Une découverte qui l’a menée, trois ans plus tard, à sa dernière session dans ce programme technique, où elle a pu accumuler des acquis qui lui permettront de vivre une carrière des plus intéressantes, dans un domaine qui la passionne. Découvrez-en plus sur son parcours en lisant ce témoignage!
« Je ne voulais pas faire un métier manuel à 100 % et lorsque je me suis mieux renseigné sur la formation, par exemple en participant aux portes ouvertes, j’ai compris que ce n’était pas du tout le cas. Le programme Technologie de la mécanique du bâtiment n’est pas simplement de la mécanique, comme on peut le sous-entendre, c’est avant tout le génie du bâtiment. Oui, nous avons des matières un peu plus manuelles, comme de la maintenance de système et de l’équilibrage de réseaux, mais c’est par la suite un choix de métier parmi tous les autres. Le côté plus intellectuel de ce domaine me convient davantage », explique la future diplômée.
Selon Élodie, c’est aussi un domaine tellement large qu’il est difficile de même déterminer ce qu’elle aime le plus! « S’il avait fallu que je réponde à cette question la session dernière, je crois que je n’aurais même pas été capable. Étant maintenant à ma dernière session dans ce programme, il est certain que mes idées commencent à bien s’aligner. Je dirais que la conception et l’estimation m’intéressent davantage et de plus en plus », mentionne-t-elle.
Ce large éventail de possibilités est d’ailleurs l’une des choses qu’elle aime de la mécanique du bâtiment. Mais encore? : « Il y a aussi un très bon taux de placement et un grand éventail de choix de carrière. Si l'on parle du programme, il est certain que la première année est plus théorique, il faut s'y attendre puisqu'il faut apprendre les bases. Sinon, les cours sont montés de façon à voir la théorie et tout de suite après, avoir le laboratoire, ce qui permet d'appliquer et de mieux visualiser ce que l'on vient d'apprendre. Aussi, l’ambiance du programme est plaisante puisque tout au long des trois ans nous sommes toujours les mêmes groupes. Pour ma part, ce sentiment d’appartenance-là était et est toujours ce que je recherche et je l’ai trouvé grâce au programme Technologie de la mécanique du bâtiment. Les enseignants sont toujours disponibles pour répondre à nos questions, ils aiment nous aider et cela se ressent. De plus, ils organisent de nombreux évènements pour favoriser notre apprentissage et mettre un peu de vie dans nos études, comme des visites, des miniconférences et des soupers-conférences. Nous avons aussi beaucoup de liens avec les associations professionnelles du domaine et nous pouvons participer aux activités qu’elles organisent », explique Élodie.
Lors de ses trois ans d’études, la jeune femme a aussi eu l’occasion de s’impliquer dans la promotion de son programme, par exemple en prenant part aux portes ouvertes, de façon à pouvoir donner son point de vue sur le programme aux visiteurs, en complément aux explications des enseignants présents. Elle a également eu la chance de faire partie de l’une des équipes intercollégiales des Titans du Cégep Limoilou, en rugby. Comme quoi il est possible de combiner la pratique d’un sport aux études collégiales de niveau technique!
À l’aube de sa diplomation, la jeune femme aspire au marché du travail, par la suite : « J’aimerais me trouver un emploi dans le domaine en tant que technologue. J’ai une petite préférence vers les firmes de génie-conseil, mais il est certain que je ne ferme pas la porte à d’autres éventualités! », conclut-elle.
Bonne chance, Élodie, dans la suite de ton parcours!
Catherine Dallaire
Conseillère en communication
Direction des communications et du développement institutionnel